Les casseroles du ministre

Notre nouveau ministre traînerait de nombreuses casseroles : c’est lui qui serait à l’origine, comme éminence grise du ministère, de la pratique de la méthode syllabique imposée aux enseignants (2006) ; puis de 2008 à 2012 : suppression de 80000 postes, démantèlement du RASED, dégradation de la formation des enseignants, conception archaïque des programmes de 2008, évaluations nationales sournoises destinées à évaluer plutôt les enseignants que les élèves…
C’est quand il était DGESCO que les écoles françaises ont dégringolé au plus bas de la notation PISA.
Vincent Peillon ne l’a gardé que six mois.
Aujourd’hui, il refuse absolument qu’on l’étiquette “à droite” ou “sarkoziste”,
assure que ce n’est pas parce qu’il a été directeur de l’ESSEC qu’il envisage de privatiser les écoles.
Et voilà que des interviews récentes chez “SOS Education”, groupuscule très à droite, viennent d’être subrepticement effacées…
Est-ce le loup que l’on vient de faire rentrer dans la bergerie ?
L’article au vitriol du Café Pédagogique

Jac Risso

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